ARTS ET LITTERATURE
L'écriture est une vie.
S'il n'y avait pas de mot, comme le papier serait triste. Une simple feuille, un simple crayon et un tourbillon s'engage. Pas un combat mais une danse, une valse dirigée par un chef d'orchestre. Tant pis si il y a des fautes, si le son est doux. On lui pardonne tout. Pour donner plus de vie, on rajoute de la couleur tout autour. On reprend le crayon, on dessine puis on remet de la couleur. Oui, la vie est ainsi faite. Mais gare à ne pas abuser de la gomme. Il faut écrire et peindre mais à sa juste valeur. Je crois que j'ai toujours aimé écrire et j'y ai même cru un peu trop. En 1985, j'ai publié un recueil de poésie et naïvement je me croyais reconnue? Seulement c'était à compte d'auteur, la belle arnaque que voilà. Depuis, j'écris toujours, les éditeurs ne veulent pas de moi, ils ne savent pas ce qu'ils perdent, je plaisante, je ne sais pas si je suis douée mais je me fais plaisir. Je parle de la vie, de l'amour, de la mort bref tout ce que l'on est et qui nous fait si peur. Je regrette simplement que les éditeurs s'intéressent en priorité aux gens déjà connus qui racontent leur vie pas forcément intéressante mais notoriété oblige, les maisons d'éditions assurent ainsi leurs arrières. Ce n'est pas très honorable mais l'argent passe avant le talent. La peinture est aussi une de mes passion. Que de plaisir à étaler de la couleur selon l'inspiration du moment, sentir le pinceau se promener, je ne suis pas sûre d'en être le maître. Oui, je suis menée par le pinceau. Quand un paysage prend forme, je me sens intégrée dans la toile, comme aspirée, je pars, je m'envole. Au bout de quelques heures. Mon pinceau s'arrête et je reviens sur terre apaisée comme si j'étais allée dans le monde que je venais de créer.
S'il n'y avait pas de mot, comme le papier serait triste. Une simple feuille, un simple crayon et un tourbillon s'engage. Pas un combat mais une danse, une valse dirigée par un chef d'orchestre. Tant pis si il y a des fautes, si le son est doux. On lui pardonne tout. Pour donner plus de vie, on rajoute de la couleur tout autour. On reprend le crayon, on dessine puis on remet de la couleur. Oui, la vie est ainsi faite. Mais gare à ne pas abuser de la gomme. Il faut écrire et peindre mais à sa juste valeur. Je crois que j'ai toujours aimé écrire et j'y ai même cru un peu trop. En 1985, j'ai publié un recueil de poésie et naïvement je me croyais reconnue? Seulement c'était à compte d'auteur, la belle arnaque que voilà. Depuis, j'écris toujours, les éditeurs ne veulent pas de moi, ils ne savent pas ce qu'ils perdent, je plaisante, je ne sais pas si je suis douée mais je me fais plaisir. Je parle de la vie, de l'amour, de la mort bref tout ce que l'on est et qui nous fait si peur. Je regrette simplement que les éditeurs s'intéressent en priorité aux gens déjà connus qui racontent leur vie pas forcément intéressante mais notoriété oblige, les maisons d'éditions assurent ainsi leurs arrières. Ce n'est pas très honorable mais l'argent passe avant le talent. La peinture est aussi une de mes passion. Que de plaisir à étaler de la couleur selon l'inspiration du moment, sentir le pinceau se promener, je ne suis pas sûre d'en être le maître. Oui, je suis menée par le pinceau. Quand un paysage prend forme, je me sens intégrée dans la toile, comme aspirée, je pars, je m'envole. Au bout de quelques heures. Mon pinceau s'arrête et je reviens sur terre apaisée comme si j'étais allée dans le monde que je venais de créer.
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